Au détour d’une promenade sur la digue du Sillon, vous avez peut-être croisé leur petit stand, avec ces bouteilles colorées qui semblaient crier : “Viens goûter, on est plein de soleil !”. Derrière Pulp’ Saint-Malo, il y a Maxime et Claire, deux passionnés qui, en 2021, se sont lancés un défi : presser le meilleur de la nature, le tout localement, avec amour et un brin d’audace.
Chez Pulp’, chaque bouteille raconte une histoire. On y trouve des fruits et légumes bio, bien sûr, mais aussi cette petite touche bretonne qu’on adore : des produits locaux, du goût à revendre, et une philosophie qui respire l’authenticité. Que ce soit Le Bonne Poire (poire, carotte, pomme), Le Petit Sain (un cocktail green ultra-frais) ou L’Antidote (gingembre punchy pour les matins frileux), il y a un jus pour chaque humeur, chaque envie.
Ce n’est pas seulement un jus. Non, c’est une immersion dans un Saint-Malo version XXIe siècle : audacieux, respectueux de ses racines, mais prêt à faire sa place dans le monde moderne. Pressés à froid, leurs jus conservent toutes leurs vitamines et surtout, ce petit goût d’exception qu’on ne trouve que dans les bonnes choses faites avec passion.
Ce qu’on aime chez Pulp’, c’est leur obsession pour le circuit court. Les fruits et légumes ? Ils viennent de chez nous (ou presque). Et même si la production a pris de l’ampleur – Maxime et Claire ont dû déléguer une partie du pressage pour répondre à la demande –, ils n’ont jamais dévié de leurs valeurs : du bon, du bio, du responsable.
Pulp’, c’est plus qu’une marque. C’est un état d’esprit. Une envie de consommer autrement, sans se prendre la tête, mais en se faisant plaisir. Ce sont des jus qui donnent envie de se lever tôt pour regarder le lever de soleil sur Saint-Malo, bouteille à la main. C’est aussi un rappel qu’on peut faire les choses bien, pour soi et pour la planète, sans compromis.
Alors, que vous soyez en quête d’un shoot de vitamines ou d’une marque locale qui coche toutes les cases, laissez-vous tenter par Pulp’. Et promis, vous n’aurez pas besoin de prétexte pour ouvrir une deuxième bouteille.