Les belles histoires commencent souvent par un besoin, une intuition, un détail qui manque. Pour Laure-Anne, ce détail, c’était un abat-jour. Impossible de trouver ce qu’elle cherchait. Alors, elle a décidé de le créer. Et sans vraiment le prévoir, elle s’est réinventée.
De Grenoble à Rennes, en passant par Bordeaux et Paris, son parcours s’est construit sans ligne droite, mais avec un fil rouge évident : l’image, la matière, l’envie de donner du relief aux choses. Aujourd’hui, elle façonne la lumière, avec un savoir-faire rare et une approche singulière.
Elle est abat-jouriste.
Rien ne la destinait à cet univers. Après un parcours classique à Grenoble, elle s’oriente vers les arts plastiques à Bordeaux. Elle y touche à tout : édition, graphisme, photo, illustration… Puis direction Paris, où elle navigue entre le prêt-à-porter et la communication. Elle passe quatre ans comme assistante pédagogique dans une école de com' du 20ᵉ arrondissement. Mais elle ne s’y retrouve pas vraiment. Besoin d’air, de changement, d’un métier où l’on crée avec ses mains.
Alors, quand son conjoint propose de quitter la capitale, elle saute le pas. Cap sur Rennes.
"Nouvelle ville, nouvel appart, je ne connaissais personne. Reset complet."
Son père est antiquaire, elle a toujours baigné dans les objets chinés, les belles matières, les détails qui font tout. En aménageant son nouvel intérieur, elle se heurte à une évidence : trouver un bel abat-jour relève du défi.
"Je suis fille d’antiquaire et mon père est un passionné de lumière, comme moi. Depuis petite, je baigne au milieu des lampes."
Curieuse, elle se demande si quelqu’un en fabrique encore. Une rencontre change tout. Elle découvre Aurélie Cousin, abat-jouriste rennaise. Un échange, une évidence. Très vite, elle comprend que cet artisanat oublié a encore beaucoup à dire.
Elle se forme à la CMA de Vannes, perfectionne son geste, apprend les techniques traditionnelles, et ouvre son atelier, Atelier Laq.
Son style ? Un équilibre entre l’ancien et le moderne, entre la douceur du cottage anglais et la rigueur du design minimaliste. Son premier abat-jour en Vichy devient une signature, mais Laure-Anne ne s’enferme dans aucun cadre.
Elle chine, assemble, transforme. Un pied en céramique vintage, un tissu à la trame parfaite, un jeu d’ombres et de lumières. Chaque création est pensée sur-mesure, avec ce souci du détail qui fait toute la différence.
"Le plus gros de mon travail, c’est le sur-mesure. Les gens viennent avec un pied de lampe qu’ils adorent mais pour lequel ils ne trouvent pas d’abat-jour. C’est là que j’interviens."
Rien ne la destinait à cet univers. Après un parcours classique à Grenoble, elle s’oriente vers les arts plastiques à Bordeaux. Elle y touche à tout : édition, graphisme, photo, illustration… Puis direction Paris, où elle navigue entre le prêt-à-porter et la communication. Elle passe quatre ans comme assistante pédagogique dans une école de com' du 20ᵉ arrondissement. Mais elle ne s’y retrouve pas vraiment. Besoin d’air, de changement, d’un métier où l’on crée avec ses mains.
Alors, quand son conjoint propose de quitter la capitale, elle saute le pas. Cap sur Rennes.
"Nouvelle ville, nouvel appart, je ne connaissais personne. Reset complet."
Son père est antiquaire, elle a toujours baigné dans les objets chinés, les belles matières, les détails qui font tout. En aménageant son nouvel intérieur, elle se heurte à une évidence : trouver un bel abat-jour relève du défi.
"Je suis fille d’antiquaire et mon père est un passionné de lumière, comme moi. Depuis petite, je baigne au milieu des lampes."
Curieuse, elle se demande si quelqu’un en fabrique encore. Une rencontre change tout. Elle découvre Aurélie Cousin, abat-jouriste rennaise. Un échange, une évidence. Très vite, elle comprend que cet artisanat oublié a encore beaucoup à dire.
Elle se forme à la CMA de Vannes, perfectionne son geste, apprend les techniques traditionnelles, et ouvre son atelier, Atelier Laq.
Son style ? Un équilibre entre l’ancien et le moderne, entre la douceur du cottage anglais et la rigueur du design minimaliste. Son premier abat-jour en Vichy devient une signature, mais Laure-Anne ne s’enferme dans aucun cadre.
Elle chine, assemble, transforme. Un pied en céramique vintage, un tissu à la trame parfaite, un jeu d’ombres et de lumières. Chaque création est pensée sur-mesure, avec ce souci du détail qui fait toute la différence.
"Le plus gros de mon travail, c’est le sur-mesure. Les gens viennent avec un pied de lampe qu’ils adorent mais pour lequel ils ne trouvent pas d’abat-jour. C’est là que j’interviens."
Chez Atelier Laq, on travaille autrement. Laure-Anne collabore avec céramistes, tourneurs sur bois, designers, crée des pièces uniques, imagine des associations inédites.
Elle rêve de collections en collaboration, de lampes pensées pour les hôtels, les boutiques déco, les architectes d’intérieur. Elle veut remettre l’abat-jour au cœur de la décoration, lui redonner du caractère et une place centrale dans les intérieurs.
"Un abat-jour peut transformer une pièce. Il a une vraie place dans la déco, mais c’est un métier oublié."
Un abat-jour, ce n’est pas un simple accessoire. C’est ce qui change tout. Il adoucit une pièce, met en valeur un espace, crée une atmosphère. Et Laure-Anne l’a bien compris.
Dans son atelier, elle ne fait pas que fabriquer des abat-jours. Elle façonne la lumière, avec élégance et subtilité.
Retrouvez les créations de Laure-Anne sur www.atelierlaq.fr ainsi que sur instagram à @laureanne.quereyron
Chez Atelier Laq, on travaille autrement. Laure-Anne collabore avec céramistes, tourneurs sur bois, designers, crée des pièces uniques, imagine des associations inédites.
Elle rêve de collections en collaboration, de lampes pensées pour les hôtels, les boutiques déco, les architectes d’intérieur. Elle veut remettre l’abat-jour au cœur de la décoration, lui redonner du caractère et une place centrale dans les intérieurs.
"Un abat-jour peut transformer une pièce. Il a une vraie place dans la déco, mais c’est un métier oublié."
Un abat-jour, ce n’est pas un simple accessoire. C’est ce qui change tout. Il adoucit une pièce, met en valeur un espace, crée une atmosphère. Et Laure-Anne l’a bien compris.
Dans son atelier, elle ne fait pas que fabriquer des abat-jours. Elle façonne la lumière, avec élégance et subtilité.
Retrouvez les créations de Laure-Anne sur www.atelierlaq.fr ainsi que sur instagram à @laureanne.quereyron