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Julie, du digital à la déco ou comment passer du pixel au pinceau

Publié le
February 21, 2025

Quand on découvre les intérieurs signés Julie, on s’attend à ce qu’elle ait toujours baigné dans la décoration. Faux ! Avant d’associer matières et couleurs, elle jonglait avec des pixels et des interfaces.

Son parcours ? Une reconversion audacieuse, guidée par une passion grandissante et une irrésistible envie de créer du beau, du vrai, du palpable.

Une enfance entre artisanat et premiers clics

Originaire d’Alsace, Julie grandit dans une famille où l’on savait manier aussi bien le verre que le tissu. Son père transforme une verrerie artisanale en miroiterie industrielle, son oncle crée des pièces uniques en tapisserie. De quoi lui donner le goût des matières et du détail. Pourtant, c’est vers une autre forme de création qu’elle se tourne : le digital.

Fascinée par les nouvelles technologies (et sans doute un peu geek sur les bords), elle plonge dans l’UX design et le multimédia. Elle crée des expériences interactives bien avant que ce soit tendance, travaillant pour des mastodontes comme Citroën, la SNCF ou Roland-Garros. Son quotidien ? Optimiser des parcours utilisateurs, repenser des interfaces, peaufiner des détails invisibles mais essentiels. Passionnant, certes… mais à force de tout voir à travers un écran, une envie d’ailleurs commence à germer.

Du digital au fait-main : un retour aux sources

Après des années à naviguer entre lignes de code et stratégies digitales, Julie ressent le besoin de toucher du concret. Elle co-fonde une entreprise de kits DIY avec sa meilleure amie, organise des ateliers créatifs et retrouve ce plaisir du fait-main qui lui avait tant manqué.

Puis vient la maternité, et avec elle, un regard nouveau sur l’environnement intérieur. Exit les meubles qui sentent la colle chimique et les textiles traités on-ne-sait-comment : Julie se plonge dans l’univers de la déco sous un angle plus responsable. Elle traque les matériaux douteux, scrute les compositions des meubles et se transforme en véritable Sherlock Holmes du design éthique.

Un grand saut vers la Bretagne

En 2020, alors qu’elle est en pleine formation de décoration d’intérieur, la pandémie redistribue les cartes. Avec son mari, ils prennent une décision radicale : Paris, c’est fini. En moins d’un mois, direction la Bretagne, à quelques kilomètres de Saint-Malo.

Dans un contexte post-confinement, Julie se fait une place petit à petit. Son premier projet ? Un studio à Saint-Malo. Puis d’autres suivent, sur la Côte d’Émeraude, à Strasbourg, à La Rochelle… Son talent voyage aussi bien que ses idées.

Une déco avec du caractère (et des histoires à raconter)

Difficile de ne pas reconnaître la touche de Julie. Son style ? Un équilibre entre minimalisme et audace. Elle pose des bases intemporelles – blanc, bois, noir – puis ajoute des touches de couleur bien dosées et, surtout, des objets chinés qui donnent une âme aux espaces.

"J’ai toujours eu une obsession pour les formes géométriques et les motifs graphiques", confie-t-elle. "J’aime les lignes structurées, les contrastes francs… et toujours un petit clin d’œil vintage, histoire de ne pas faire trop sage !"

Son terrain de jeu favori ? Les brocantes. Tandis que d’autres brunchent le dimanche matin, elle, elle arpente les stands, à la recherche de la pièce qui fera mouche. "Je ne peux pas résister à une bonne affaire, et encore moins à un meuble avec une histoire !"

Du digital au fait-main : un retour aux sources

Après des années à naviguer entre lignes de code et stratégies digitales, Julie ressent le besoin de toucher du concret. Elle co-fonde une entreprise de kits DIY avec sa meilleure amie, organise des ateliers créatifs et retrouve ce plaisir du fait-main qui lui avait tant manqué.

Puis vient la maternité, et avec elle, un regard nouveau sur l’environnement intérieur. Exit les meubles qui sentent la colle chimique et les textiles traités on-ne-sait-comment : Julie se plonge dans l’univers de la déco sous un angle plus responsable. Elle traque les matériaux douteux, scrute les compositions des meubles et se transforme en véritable Sherlock Holmes du design éthique.

Un grand saut vers la Bretagne

En 2020, alors qu’elle est en pleine formation de décoration d’intérieur, la pandémie redistribue les cartes. Avec son mari, ils prennent une décision radicale : Paris, c’est fini. En moins d’un mois, direction la Bretagne, à quelques kilomètres de Saint-Malo.

Dans un contexte post-confinement, Julie se fait une place petit à petit. Son premier projet ? Un studio à Saint-Malo. Puis d’autres suivent, sur la Côte d’Émeraude, à Strasbourg, à La Rochelle… Son talent voyage aussi bien que ses idées.

Une déco avec du caractère (et des histoires à raconter)

Difficile de ne pas reconnaître la touche de Julie. Son style ? Un équilibre entre minimalisme et audace. Elle pose des bases intemporelles – blanc, bois, noir – puis ajoute des touches de couleur bien dosées et, surtout, des objets chinés qui donnent une âme aux espaces.

"J’ai toujours eu une obsession pour les formes géométriques et les motifs graphiques", confie-t-elle. "J’aime les lignes structurées, les contrastes francs… et toujours un petit clin d’œil vintage, histoire de ne pas faire trop sage !"

Son terrain de jeu favori ? Les brocantes. Tandis que d’autres brunchent le dimanche matin, elle, elle arpente les stands, à la recherche de la pièce qui fera mouche. "Je ne peux pas résister à une bonne affaire, et encore moins à un meuble avec une histoire !"

Une déco pensée pour ceux qui l’habitent

Mais Julie ne se contente pas de faire joli. Son passé en UX design la suit encore : elle ne décore pas un espace, elle le pense en fonction de ceux qui y vivent. Elle passe du temps à interroger ses clients, non pas sur leurs couleurs préférées, mais sur leur manière de vivre. "Les gens me disent souvent qu’ils n’ont pas d’idées, mais tout est déjà là, dans leurs habitudes, leurs envies, les objets auxquels ils tiennent. Mon job, c’est de le traduire en un intérieur qui leur ressemble."

Une déco qui dure (et qu’on ne regrette pas dans six mois)

Aujourd’hui, Julie continue de bâtir son univers et d’insuffler son énergie dans chaque projet. Son objectif ? Créer des intérieurs qui ne se démodent pas, où l’on se sent bien, longtemps. "Un intérieur doit évoluer, mais pas au gré des tendances éphémères. Mon but, c’est que mes clients n’aient pas envie de tout changer dans six mois parce qu’ils se sont lassés."

Mission réussie : à voir ses réalisations, on se dit que, de l’UX à la déco, elle a surtout toujours su mettre l’humain au cœur de son travail. Avec en bonus, une bonne dose de personnalité.

Suivez Julie sur @julieh_fr

Un projet ? Retrouvez le travail de Julie sur https://julieh.fr

Une déco pensée pour ceux qui l’habitent

Mais Julie ne se contente pas de faire joli. Son passé en UX design la suit encore : elle ne décore pas un espace, elle le pense en fonction de ceux qui y vivent. Elle passe du temps à interroger ses clients, non pas sur leurs couleurs préférées, mais sur leur manière de vivre. "Les gens me disent souvent qu’ils n’ont pas d’idées, mais tout est déjà là, dans leurs habitudes, leurs envies, les objets auxquels ils tiennent. Mon job, c’est de le traduire en un intérieur qui leur ressemble."

Une déco qui dure (et qu’on ne regrette pas dans six mois)

Aujourd’hui, Julie continue de bâtir son univers et d’insuffler son énergie dans chaque projet. Son objectif ? Créer des intérieurs qui ne se démodent pas, où l’on se sent bien, longtemps. "Un intérieur doit évoluer, mais pas au gré des tendances éphémères. Mon but, c’est que mes clients n’aient pas envie de tout changer dans six mois parce qu’ils se sont lassés."

Mission réussie : à voir ses réalisations, on se dit que, de l’UX à la déco, elle a surtout toujours su mettre l’humain au cœur de son travail. Avec en bonus, une bonne dose de personnalité.

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Un projet ? Retrouvez le travail de Julie sur https://julieh.fr

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