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Originaire des Côtes-d’Armor, Gwenn Libouban a grandi dans un pensionnat de garçons dirigé par son père. Une enfance rythmée par la vie communautaire, où elle et ses sœurs étaient "les princesses du château". Son parcours l’a menée de Guingamp à Rennes, puis à Paris, où elle a exercé pendant vingt ans en tant que podologue et réflexologue.
Aujourd’hui, Gwenn partage son temps entre plusieurs lieux, chacun ayant une signification forte dans son équilibre de vie : Paris, où elle retourne régulièrement pour sa patientèle, Cancale et La Ferme du Vent, où elle travaille aux côtés de la famille Roellinger, et L’Arbre qui Marche, son propre espace dédié à la réflexologie et aux thérapies holistiques.
Pour Gwenn Libouban, la vie est un chemin d’exploration, un équilibre subtil entre racines et mouvement, entre écoute de soi et ouverture aux autres. Formée à la podologie et à la réflexologie, elle a rapidement compris que le soin ne se limitait pas au corps, mais qu’il touchait à l’histoire de l’individu, ses émotions, son énergie et son chemin de vie.
"L’homme est un arbre qui marche", aime-t-elle dire, reprenant le titre de son livre. Pour elle, notre corps est comme un arbre : nos pieds sont nos racines, ancrées dans la terre, et notre esprit s’élève vers le ciel. Si nos racines sont solides, notre tronc est stable et nos branches peuvent s’épanouir librement. L’ancrage, c’est la clé du mouvement et de la liberté.
Ce principe se retrouve dans sa manière d’appréhender la vie : trouver un équilibre entre s’enraciner dans ses valeurs, ses expériences, ses connaissances et garder une fluidité, une capacité à évoluer et à s’adapter. Pour Gwenn, il n’y a pas de séparation entre le corps et l’esprit, entre le soin et la vie quotidienne. Tout est lié, tout communique, tout se répond.
Gwenn voit chaque épreuve comme une opportunité d’évolution. "On peut choisir de la subir, ou bien on peut l’accueillir, la comprendre et la transformer en force", explique-t-elle. La maladie, la douleur, les blocages émotionnels ne sont pas des fatalités, mais des messages du corps et de l’âme qu’il faut écouter. C’est ce qu’elle transmet dans son approche thérapeutique : mettre du sens sur ce que l’on vit permet de se réapproprier son existence et d’en faire un levier de transformation.
Après avoir accompagné La Ferme du Vent dans la création d’un espace bien-être unique, Gwenn et son compagnon Paolo Malvarosa ont créé leur propre lieu, L’Arbre qui Marche. Un espace pensé comme un sanctuaire, où la thérapie côtoie la nature, le yoga, l’art et la transmission. "Nous avons imaginé un endroit où les gens peuvent se déposer, se retrouver et se transformer."
Le programme est dense et riche : cures, retraites, formations en réflexologie thérapeutique, ateliers de yoga, cuisine ayurvédique, cercles de parole, concerts... Chaque élément du lieu est pensé pour nourrir le corps et l’âme. "Ici, on ne vient pas juste pour un soin, mais pour une expérience immersive, une reconnexion à soi-même."
"Nous sommes des êtres de création et d’inspiration. Pour être en harmonie, il faut nourrir son corps, mais aussi son âme et son imaginaire." C’est cette conviction qui l’anime, que ce soit à travers son travail de thérapeute, de formatrice ou simplement dans sa manière de vivre au quotidien.
"L’homme est un arbre qui marche", aime-t-elle dire, reprenant le titre de son livre. Pour elle, notre corps est comme un arbre : nos pieds sont nos racines, ancrées dans la terre, et notre esprit s’élève vers le ciel. Si nos racines sont solides, notre tronc est stable et nos branches peuvent s’épanouir librement. L’ancrage, c’est la clé du mouvement et de la liberté.
Ce principe se retrouve dans sa manière d’appréhender la vie : trouver un équilibre entre s’enraciner dans ses valeurs, ses expériences, ses connaissances et garder une fluidité, une capacité à évoluer et à s’adapter. Pour Gwenn, il n’y a pas de séparation entre le corps et l’esprit, entre le soin et la vie quotidienne. Tout est lié, tout communique, tout se répond.
Gwenn voit chaque épreuve comme une opportunité d’évolution. "On peut choisir de la subir, ou bien on peut l’accueillir, la comprendre et la transformer en force", explique-t-elle. La maladie, la douleur, les blocages émotionnels ne sont pas des fatalités, mais des messages du corps et de l’âme qu’il faut écouter. C’est ce qu’elle transmet dans son approche thérapeutique : mettre du sens sur ce que l’on vit permet de se réapproprier son existence et d’en faire un levier de transformation.
Après avoir accompagné La Ferme du Vent dans la création d’un espace bien-être unique, Gwenn et son compagnon Paolo Malvarosa ont créé leur propre lieu, L’Arbre qui Marche. Un espace pensé comme un sanctuaire, où la thérapie côtoie la nature, le yoga, l’art et la transmission. "Nous avons imaginé un endroit où les gens peuvent se déposer, se retrouver et se transformer."
Le programme est dense et riche : cures, retraites, formations en réflexologie thérapeutique, ateliers de yoga, cuisine ayurvédique, cercles de parole, concerts... Chaque élément du lieu est pensé pour nourrir le corps et l’âme. "Ici, on ne vient pas juste pour un soin, mais pour une expérience immersive, une reconnexion à soi-même."
"Nous sommes des êtres de création et d’inspiration. Pour être en harmonie, il faut nourrir son corps, mais aussi son âme et son imaginaire." C’est cette conviction qui l’anime, que ce soit à travers son travail de thérapeute, de formatrice ou simplement dans sa manière de vivre au quotidien.
Gwenn prône une vie dans l’instant, où l’on cesse de lutter contre ce qui est et où l’on accueille ce qui vient avec confiance. "Quand on est aligné, les choses se mettent en place naturellement. Il faut apprendre à écouter les signes, à sentir ce qui vibre juste."
C’est cette philosophie qu’elle applique à son propre parcours, entre Paris et la Bretagne, entre science et intuition, entre modernité et traditions. Elle ne cloisonne rien, ne rejette rien, mais intègre tout dans un même mouvement de fluidité et de conscience.
"Aujourd’hui, mon travail ne se limite plus à la réflexologie : je forme aussi des thérapeutes. Ce n’est pas une simple formation technique, c’est un véritable travail de transmission. On ne devient pas réflexologue en apprenant un protocole, on devient un véritable thérapeute, capable d’accueillir l’autre dans sa globalité."
Avec une formation qui dure trois ans, Gwenn et Paolo accompagnent leurs élèves dans un processus profond : "Il faut du temps pour apprendre à écouter, ressentir et accompagner sans s’oublier. Nous ne formons pas simplement des professionnels, nous les aidons à développer leur propre sensibilité et à trouver leur façon unique de toucher."
Si elle devait résumer sa vision de la vie en une phrase, Gwenn citerait cette prière qu’elle se répète souvent :
"Donner ce que je veux, recevoir ce que je peux, et travailler autant que je dois. »
Un équilibre entre générosité et justesse, entre engagement et lâcher-prise, qui reflète toute la richesse de sa vision du monde.
Envie de découvrir L'Arbre qui marche, rendez-vous sur larbrequimarche.fr
Pour découvrir l'univers de Gwenn Libouban, rendez-vous sur sa page instagram @gwennlibouban
Gwenn prône une vie dans l’instant, où l’on cesse de lutter contre ce qui est et où l’on accueille ce qui vient avec confiance. "Quand on est aligné, les choses se mettent en place naturellement. Il faut apprendre à écouter les signes, à sentir ce qui vibre juste."
C’est cette philosophie qu’elle applique à son propre parcours, entre Paris et la Bretagne, entre science et intuition, entre modernité et traditions. Elle ne cloisonne rien, ne rejette rien, mais intègre tout dans un même mouvement de fluidité et de conscience.
"Aujourd’hui, mon travail ne se limite plus à la réflexologie : je forme aussi des thérapeutes. Ce n’est pas une simple formation technique, c’est un véritable travail de transmission. On ne devient pas réflexologue en apprenant un protocole, on devient un véritable thérapeute, capable d’accueillir l’autre dans sa globalité."
Avec une formation qui dure trois ans, Gwenn et Paolo accompagnent leurs élèves dans un processus profond : "Il faut du temps pour apprendre à écouter, ressentir et accompagner sans s’oublier. Nous ne formons pas simplement des professionnels, nous les aidons à développer leur propre sensibilité et à trouver leur façon unique de toucher."
Si elle devait résumer sa vision de la vie en une phrase, Gwenn citerait cette prière qu’elle se répète souvent :
"Donner ce que je veux, recevoir ce que je peux, et travailler autant que je dois. »
Un équilibre entre générosité et justesse, entre engagement et lâcher-prise, qui reflète toute la richesse de sa vision du monde.
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