Entre Paris, New York et aujourd’hui Rennes, elle a réinventé sa vie et son métier, troquant le monde du luxe et des campagnes de communication pour celui de la création artisanale et de la joaillerie.
Caroline a commencé par une école de commerce, spécialisation marketing et communication, direction le grand bain de la mode, Vivienne Westwood, Yves Saint Laurent, Chloé, … Elle passe plus de treize ans dans les coulisses des plus grandes maisons. Plan médias, campagnes de pub, lancements de parfums…
Mais à mesure que les années passent, quelque chose s’effrite. La frénésie du luxe et ses exigences ultra-codifiées ne suffisent plus.
C’est un bilan de compétences qui met le doigt sur l’évidence : son besoin profond de création. Depuis toujours, Caroline aime bricoler, créer, assembler… mais elle n’avait jamais imaginé en faire un métier.
En 2015, elle part vivre à New York avec son mari et ses enfants. Changement de décor. Changement de rythme. Et surtout, changement de cap.
C’est là-bas qu’elle prend une décision radicale : reprendre des études, mais cette fois, dans un domaine qui la fait vibrer. Elle s’inscrit au GIA (Gemological Institute of America) et apprend la joaillerie de A à Z : gemmologie, sertissage, travail des métaux, modélisation 3D… Elle plonge dans l’univers fascinant des pierres, sillonne le Diamond District, découvre les artisans, les ateliers cachés derrière des portes blindées.
Elle crée ses premières pièces et, très vite, le bouche-à-oreille fait son effet. Les boutiques repèrent son travail. Elle décroche une première commande, puis une autre. Et en quelques années, ses créations atterrissent chez Saks et Bergdorf Goodman, des références absolues aux États-Unis.
Après plusieurs années à New York, retour en France. Et pas à Paris, non. Rennes. Un choix du cœur, un choix de vie. Mais aussi un sacré défi.
Parce que la joaillerie en France, ce n’est pas la même histoire. Ici, tout est codifié, réglementé, verrouillé. Exit le 14 carats qu’elle utilisait aux États-Unis, en France, c’est 18 carats ou rien. Et pour trouver des ateliers prêts à travailler avec une "petite marque", il faut s’armer de patience. Six mois de recherches, des portes qui se ferment, des "Désolé, on bosse uniquement avec les maisons de la Place Vendôme".
Mais Caroline est déterminée. Elle trouve ses artisans, comprend le marché français (moins audacieux que l’américain), et relance Jolly Bijou depuis la Bretagne, tout en faisant de nombreux allers-retours à Paris.
En 2015, elle part vivre à New York avec son mari et ses enfants. Changement de décor. Changement de rythme. Et surtout, changement de cap.
C’est là-bas qu’elle prend une décision radicale : reprendre des études, mais cette fois, dans un domaine qui la fait vibrer. Elle s’inscrit au GIA (Gemological Institute of America) et apprend la joaillerie de A à Z : gemmologie, sertissage, travail des métaux, modélisation 3D… Elle plonge dans l’univers fascinant des pierres, sillonne le Diamond District, découvre les artisans, les ateliers cachés derrière des portes blindées.
Elle crée ses premières pièces et, très vite, le bouche-à-oreille fait son effet. Les boutiques repèrent son travail. Elle décroche une première commande, puis une autre. Et en quelques années, ses créations atterrissent chez Saks et Bergdorf Goodman, des références absolues aux États-Unis.
Après plusieurs années à New York, retour en France. Et pas à Paris, non. Rennes. Un choix du cœur, un choix de vie. Mais aussi un sacré défi.
Parce que la joaillerie en France, ce n’est pas la même histoire. Ici, tout est codifié, réglementé, verrouillé. Exit le 14 carats qu’elle utilisait aux États-Unis, en France, c’est 18 carats ou rien. Et pour trouver des ateliers prêts à travailler avec une "petite marque", il faut s’armer de patience. Six mois de recherches, des portes qui se ferment, des "Désolé, on bosse uniquement avec les maisons de la Place Vendôme".
Mais Caroline est déterminée. Elle trouve ses artisans, comprend le marché français (moins audacieux que l’américain), et relance Jolly Bijou depuis la Bretagne, tout en faisant de nombreux allers-retours à Paris.
C’est de la joaillerie pensée pour durer, pour traverser le temps sans se démoder. Des bijoux aux lignes épurées, graphiques, inspirés de l’architecture art déco, qui jouent avec la lumière et les textures.
Caroline ne jure que par les pierres colorées : tourmalines, grenats, saphirs roses… Ce qu’elle aime; les teintes vibrantes, les reflets surprenants, ces petits éclats de couleur qui rendent un bijou unique.
Sa toute première création ? Une boucle d’oreille inspirée d’un cadran solaire, qui reste aujourd’hui l’une de ses signatures.
Aujourd’hui, Jolly Bijou prend son envol, porté par la passion et l’audace. Caroline jongle entre la création, la production, et la commercialisation.
Caroline a fait ce que tout le monde rêve de faire un jour : écouter cette petite voix intérieure, tout plaquer et se lancer. Aujourd’hui, avec Jolly Bijou, elle crée des pièces qui lui ressemblent, entre finesse, éclats de lumière et belles histoires à porter.
Parce qu’un bijou, ce n’est jamais juste un bijou. C’est une histoire, un moment, un souvenir qu’on accroche à son doigt ou à son cou.
Et ça, Caroline l’a compris mieux que personne.
Découvrez Jolly Bijou sur www.jollybijou.com et sur Instagram @jolly_bijou
C’est de la joaillerie pensée pour durer, pour traverser le temps sans se démoder. Des bijoux aux lignes épurées, graphiques, inspirés de l’architecture art déco, qui jouent avec la lumière et les textures.
Caroline ne jure que par les pierres colorées : tourmalines, grenats, saphirs roses… Ce qu’elle aime; les teintes vibrantes, les reflets surprenants, ces petits éclats de couleur qui rendent un bijou unique.
Sa toute première création ? Une boucle d’oreille inspirée d’un cadran solaire, qui reste aujourd’hui l’une de ses signatures.
Aujourd’hui, Jolly Bijou prend son envol, porté par la passion et l’audace. Caroline jongle entre la création, la production, et la commercialisation.
Caroline a fait ce que tout le monde rêve de faire un jour : écouter cette petite voix intérieure, tout plaquer et se lancer. Aujourd’hui, avec Jolly Bijou, elle crée des pièces qui lui ressemblent, entre finesse, éclats de lumière et belles histoires à porter.
Parce qu’un bijou, ce n’est jamais juste un bijou. C’est une histoire, un moment, un souvenir qu’on accroche à son doigt ou à son cou.
Et ça, Caroline l’a compris mieux que personne.
Découvrez Jolly Bijou sur www.jollybijou.com et sur Instagram @jolly_bijou