Quand on demande à Alice Gélébart d’où elle vient, elle répond sans hésiter : Brest. Une ville qu’elle aime défendre bec et ongles, souvent sous-estimée mais riche d’un caractère brut et d’une authenticité rare. Alice, c’est cette trentenaire brestoise qui a su prendre des chemins de traverse – des ribines, justement – pour dessiner un parcours à son image, entre communication digitale, amour du papier et passion pour les petits détours inattendus.
Après des études en communication, marketing et publicité, Alice débute sa carrière à Paris, dans une agence web où elle découvre les rouages du digital. Mais rapidement, la capitale l’étouffe et l’appel de la Bretagne se fait sentir. Une pause, un retour aux sources, et l’envie de s’ancrer à nouveau à Brest.
C’est alors qu’elle décide de tracer sa propre voie. Elle voyage en Amérique du Sud, développe son œil de photographe et affine son goût pour les belles histoires. De retour en Bretagne, elle travaille dans des entreprises du territoire tout en nourrissant un projet personnel : créer un espace où les richesses du Finistère sont mises en lumière.
Le nom Ribines ne doit rien au hasard. En breton, une ribine est un petit chemin de traverse, un raccourci souvent caché que l’on emprunte pour éviter les grandes routes. C’est l’itinéraire bis, celui qui dévoile des paysages inattendus et des lieux hors des sentiers battus.
Pour Alice, c’est tout l’esprit du projet : valoriser les adresses et les personnalités qui font la richesse du Finistère, mais qu’on ne voit pas toujours au premier coup d'œil. Des cafés chaleureux, des boutiques confidentielles, des artisans passionnés ou encore des hébergements qui ont une âme.
Ribines, c’est donc un compte Instagram lancé en 2020, en pleine pandémie, lorsque le temps s’est ralenti et qu’Alice a ressorti son appareil photo. Entre les balades dans Brest et les escapades en Finistère, elle commence à partager ses coups de cœur. Les petites adresses pleines de charme, les chemins peu fréquentés, les lieux où l’on se sent bien. Rapidement, la communauté grandit, portée par l’authenticité du contenu et l’envie de découvrir la Bretagne autrement.
Pour Alice, Ribines n’a jamais eu vocation à devenir un simple compte d’influence. Elle voit le projet comme un véritable média local, indépendant et engagé. Plus qu’un carnet d’adresses, Ribines raconte une Bretagne vivante, vibrante et loin des clichés touristiques.
Aujourd’hui, Ribines met en avant :
Des adresses food : restaurants, cafés, boulangeries et lieux gourmands, toujours choisis pour leur authenticité.
Des hébergements singuliers : gîtes, chambres d’hôtes et hôtels où le charme prime sur le bling-bling.
Des boutiques et commerces locaux : librairies, friperies, galeries ou encore concept-stores, pour des découvertes loin des grandes enseignes.
Des itinéraires et balades : pour explorer la Bretagne au ralenti, en dehors des circuits touristiques classiques.
Alice rêve d’aller plus loin et d’enrichir ce contenu à l’avenir. Parmi ses envies : mettre davantage en avant les savoir-faire locaux, les artisans et les créateurs qui font vivre le territoire. Les portraits sont encore en projet, mais l’idée germe doucement, comme une prochaine étape logique pour Ribines.
Le nom Ribines ne doit rien au hasard. En breton, une ribine est un petit chemin de traverse, un raccourci souvent caché que l’on emprunte pour éviter les grandes routes. C’est l’itinéraire bis, celui qui dévoile des paysages inattendus et des lieux hors des sentiers battus.
Pour Alice, c’est tout l’esprit du projet : valoriser les adresses et les personnalités qui font la richesse du Finistère, mais qu’on ne voit pas toujours au premier coup d'œil. Des cafés chaleureux, des boutiques confidentielles, des artisans passionnés ou encore des hébergements qui ont une âme.
Ribines, c’est donc un compte Instagram lancé en 2020, en pleine pandémie, lorsque le temps s’est ralenti et qu’Alice a ressorti son appareil photo. Entre les balades dans Brest et les escapades en Finistère, elle commence à partager ses coups de cœur. Les petites adresses pleines de charme, les chemins peu fréquentés, les lieux où l’on se sent bien. Rapidement, la communauté grandit, portée par l’authenticité du contenu et l’envie de découvrir la Bretagne autrement.
Pour Alice, Ribines n’a jamais eu vocation à devenir un simple compte d’influence. Elle voit le projet comme un véritable média local, indépendant et engagé. Plus qu’un carnet d’adresses, Ribines raconte une Bretagne vivante, vibrante et loin des clichés touristiques.
Aujourd’hui, Ribines met en avant :
Des adresses food : restaurants, cafés, boulangeries et lieux gourmands, toujours choisis pour leur authenticité.
Des hébergements singuliers : gîtes, chambres d’hôtes et hôtels où le charme prime sur le bling-bling.
Des boutiques et commerces locaux : librairies, friperies, galeries ou encore concept-stores, pour des découvertes loin des grandes enseignes.
Des itinéraires et balades : pour explorer la Bretagne au ralenti, en dehors des circuits touristiques classiques.
Alice rêve d’aller plus loin et d’enrichir ce contenu à l’avenir. Parmi ses envies : mettre davantage en avant les savoir-faire locaux, les artisans et les créateurs qui font vivre le territoire. Les portraits sont encore en projet, mais l’idée germe doucement, comme une prochaine étape logique pour Ribines.
Alice ne s’en cache pas : le papier l’a toujours fascinée. Les magazines, les beaux livres, les guides qui se feuillettent encore et encore. Alors l’idée d’un magazine Ribines a germé bien avant son compte instagram.
Loin du trimestriel classique, elle imagine plutôt un guide intemporel, à la croisée du magazine et du carnet de voyage. Pas de publicité intrusive, pas de contenu bâclé : des adresses choisies avec soin, des itinéraires hors des sentiers battus et surtout, un objet qu’on garde et qu’on glisse dans son sac pour explorer le Finistère.
Ribines, c’est avant tout une philosophie. Celle qui valorise les détours, les chemins moins fréquentés, les lieux qui ont une âme. Alice ne cherche pas que les adresses instagrammables ou les lieux branchés du moment, elle aime aussi les petits cafés où l’on papote, les balades où l’on croise à peine un randonneur, les boutiques où l’on sent l’amour du métier.
Et c’est ça, l’esprit Ribines : une Bretagne sans fard, authentique, où chaque détour cache peut-être un trésor.
Parce que c’est souvent hors des grands axes que l’on trouve les plus belles surprises. Parce que les ribines sont ces chemins discrets qui racontent l’histoire d’un territoire. Et parce qu’Alice a toujours préféré les détours aux lignes droites.
Alors, prêt à prendre les ribines avec Alice ?
Rendez-vous sur Instagram sur @ribines_mag
Alice ne s’en cache pas : le papier l’a toujours fascinée. Les magazines, les beaux livres, les guides qui se feuillettent encore et encore. Alors l’idée d’un magazine Ribines a germé bien avant son compte instagram.
Loin du trimestriel classique, elle imagine plutôt un guide intemporel, à la croisée du magazine et du carnet de voyage. Pas de publicité intrusive, pas de contenu bâclé : des adresses choisies avec soin, des itinéraires hors des sentiers battus et surtout, un objet qu’on garde et qu’on glisse dans son sac pour explorer le Finistère.
Ribines, c’est avant tout une philosophie. Celle qui valorise les détours, les chemins moins fréquentés, les lieux qui ont une âme. Alice ne cherche pas que les adresses instagrammables ou les lieux branchés du moment, elle aime aussi les petits cafés où l’on papote, les balades où l’on croise à peine un randonneur, les boutiques où l’on sent l’amour du métier.
Et c’est ça, l’esprit Ribines : une Bretagne sans fard, authentique, où chaque détour cache peut-être un trésor.
Parce que c’est souvent hors des grands axes que l’on trouve les plus belles surprises. Parce que les ribines sont ces chemins discrets qui racontent l’histoire d’un territoire. Et parce qu’Alice a toujours préféré les détours aux lignes droites.
Alors, prêt à prendre les ribines avec Alice ?
Rendez-vous sur Instagram sur @ribines_mag