Au cœur de Rennes, une rencontre fortuite avec un objet m’a conduit à franchir la porte de chez Galerie M. Cet objet, c’est le Dada, une pièce en céramique aussi poétique qu’intrigante, signé Nathalie Gasdoué. Fascinée par sa beauté et l’histoire qu’il porte, j’ai décidé de rencontrer celle qui lui a donné vie.
Nathalie n’a pas toujours été céramiste. Après une carrière de vidéaste dans le milieu du spectacle vivant, puis de studio manager dans la publicité à Paris.
Elle a découvert la céramique presque par hasard, en passant régulièrement devant un atelier proposant des cours. Un jour, elle franchit le pas. Ce qui était initialement une simple échappatoire au stress de son quotidien devient rapidement une passion. « Je ne pensais qu’à ça, je ne parlais que de ça », confie-t-elle. Encouragée par ses proches, Nathalie quitte son emploi en 2019 pour suivre une formation intensive à l’école à l’EMA CNIFOP, en Bourgogne, spécialisée dans la création céramique. Ce choix audacieux a marqué le début d’une nouvelle aventure.
Le Dada est né d’un rêve marquant que Nathalie a fait lors de sa formation en Bourgogne. Ce rêve, qui la hantait depuis, l’a finalement poussée à créer cette pièce unique en 2023. Le Dada mêle formes simples et symboliques, à mi-chemin entre le jouet et l’objet d’art. Sa fabrication, minutieuse, s’étend sur plusieurs semaines : chaque morceau est soigneusement découpé, séché, assemblé, puis soumis à trois cuissons, la dernière étant réservée aux finitions comme le lustre métallique.
Le résultat est une pièce unique, empreinte de magie et de nostalgie, que Nathalie décrit comme un écho à l’enfance et à l’art populaire. « Le Dada est né d’images enfouies et d’histoires accumulées au fil du temps. Il invite à jouer, à imaginer. »
Pour Nathalie, les objets occupent une place prépondérante.
Ils sont une porte vers le voyage, qu’il soit temporel ou géographique.« Pour moi, un objet est presque vivant. Il porte en lui un passé, une mémoire », explique-t-elle. Cette sensibilité se reflète dans ses créations, qui mélangent la fonctionnalité et la poésie, avec une attention particulière aux détails et à la matière.
Nathalie n’a pas toujours été céramiste. Après une carrière de vidéaste dans le milieu du spectacle vivant, puis de studio manager dans la publicité à Paris.
Elle a découvert la céramique presque par hasard, en passant régulièrement devant un atelier proposant des cours. Un jour, elle franchit le pas. Ce qui était initialement une simple échappatoire au stress de son quotidien devient rapidement une passion. « Je ne pensais qu’à ça, je ne parlais que de ça », confie-t-elle. Encouragée par ses proches, Nathalie quitte son emploi en 2019 pour suivre une formation intensive à l’école à l’EMA CNIFOP, en Bourgogne, spécialisée dans la création céramique. Ce choix audacieux a marqué le début d’une nouvelle aventure.
Le Dada est né d’un rêve marquant que Nathalie a fait lors de sa formation en Bourgogne. Ce rêve, qui la hantait depuis, l’a finalement poussée à créer cette pièce unique en 2023. Le Dada mêle formes simples et symboliques, à mi-chemin entre le jouet et l’objet d’art. Sa fabrication, minutieuse, s’étend sur plusieurs semaines : chaque morceau est soigneusement découpé, séché, assemblé, puis soumis à trois cuissons, la dernière étant réservée aux finitions comme le lustre métallique.
Le résultat est une pièce unique, empreinte de magie et de nostalgie, que Nathalie décrit comme un écho à l’enfance et à l’art populaire. « Le Dada est né d’images enfouies et d’histoires accumulées au fil du temps. Il invite à jouer, à imaginer. »
Pour Nathalie, les objets occupent une place prépondérante.
Ils sont une porte vers le voyage, qu’il soit temporel ou géographique.« Pour moi, un objet est presque vivant. Il porte en lui un passé, une mémoire », explique-t-elle. Cette sensibilité se reflète dans ses créations, qui mélangent la fonctionnalité et la poésie, avec une attention particulière aux détails et à la matière.
Nathalie ne travaille pas seule. Elle est membre de la Galerie Tami, située rue de la Parcheminerie à Rennes. Ensemble, ils forment un collectif dédié à la promotion de la céramique artisanale. La galerie expose des pièces utilitaires et artistiques, reflétant la diversité et la richesse de cet art. On peut y retrouver le Dada, disponible en différents formats, unique et empreint de sens.
Pour Nathalie, créer est une manière d’être en phase avec elle-même. Elle accepte que ses objets ne parlent pas à tout le monde, mais cela ne l’empêche pas de rester fidèle à sa vision. « Le plus important, c’est d’être sincère dans ce que l’on fait », affirme-t-elle. Le Dada, avec sa simplicité apparente et sa profondeur symbolique, est l’expression parfaite de cette sincérité.
Alors, si vous passez par Rennes, ne manquez pas de visiter la Galerie Tami et de découvrir le travail de Nathalie Gasdoué, une artiste qui transforme la terre en histoires et la matière en émotions.
Nathalie ne travaille pas seule. Elle est membre de la Galerie Tami, située rue de la Parcheminerie à Rennes. Ensemble, ils forment un collectif dédié à la promotion de la céramique artisanale. La galerie expose des pièces utilitaires et artistiques, reflétant la diversité et la richesse de cet art. On peut y retrouver le Dada, disponible en différents formats, unique et empreint de sens.